Alpen- und grenzquerender Personenverkehr 2001 (A+GQPV 01)
| Année de publication | 2003 |
|---|---|
| Publié par | Bundesamt für Raumentwicklung (ARE) Bundeshaus Nord Site Internet: http://www.are.admin.ch |
| Lieu de publication | Bern |
| Nombre de pages | 134 |
| Langue | de - Résumé en: en, fr, it |
| Commande | http://www.are.admin.ch/are/fr/medien/mitteilungen |
| Page(s) | 134 |
Le trafic de loisirs et de vacances à travers les Alpes est toujours très important. Tel est le résultat de la dernière enquête sur le trafic voyageurs (en 2001) à travers les Alpes et avec l'étranger, réalisée par l'Office fédéral suisse du développement territorial.
Quatre déplacements transalpins sur cinq sont motivés par des loisirs ou des vacances. Chaque jour, plus d'un million de personnes passent la frontière suisse et 73'000 traversent les Alpes. En 2001, les principaux passages alpins - St-Gothard, San Bernardino, Grand-St-Bernard et Simplon - ont vu transiter en moyenne 26'766 voitures de tourisme par jour, véhiculant 58'656 personnes. Par rapport à 1996, cela correspond à une augmentation de 14% du nombre de véhicules. Au chapitre des motifs de déplacement, le trafic de vacances fait une avancée remarquable : entre 1996 et 2001, son importance passe de 38% à 49% sur la route et de 33% à 44% pour le rail.
Les enquêtes ont été réalisées par l'Office fédéral du développement territorial, conjointement avec les offices fédéraux des routes (OFROU) et des transports (OFT).
Quatre déplacements transalpins sur cinq sont motivés par des loisirs ou des vacances. Chaque jour, plus d'un million de personnes passent la frontière suisse et 73'000 traversent les Alpes. En 2001, les principaux passages alpins - St-Gothard, San Bernardino, Grand-St-Bernard et Simplon - ont vu transiter en moyenne 26'766 voitures de tourisme par jour, véhiculant 58'656 personnes. Par rapport à 1996, cela correspond à une augmentation de 14% du nombre de véhicules. Au chapitre des motifs de déplacement, le trafic de vacances fait une avancée remarquable : entre 1996 et 2001, son importance passe de 38% à 49% sur la route et de 33% à 44% pour le rail.
Les enquêtes ont été réalisées par l'Office fédéral du développement territorial, conjointement avec les offices fédéraux des routes (OFROU) et des transports (OFT).