Positions de la CIPRA

Des Alpes sans Jeux Olympiques : Position de la CIPRA
CIPRA International demande l'arrêt des candidatures et de l'organisation des Jeux Olympiques d'hiver dans les Alpes. Les Alpes doivent rester un territoire sans Jeux Olympiques, ce qu'elles sont aujourd'hui depuis huit ans. Dans leur configuration actuelle, les JO d'hiver ne sont ni écologiques, ni socialement acceptables. La CIPRA rejette donc les Jeux Olympiques d'hiver dans les Alpes - et ailleurs - sous leur forme actuelle. Les expériences des dernières décennies montrent que les montagnes ne se prêtent pas à l'organisation de tels méga-événements destructeurs de nature et ruineux. Les résultats des consultations populaires organisées dans les Grisons et à Munich révèlent qu'une grande partie de la population alpine n'est plus prête à accepter le poids des JO d'hiver.

L’espace n’est pas infini : lettre ouverte à destination de la conférence des Etats alpins sur l’aménagement du territoire
Au nom de la Commission Internationale pour la Protection des Alpes CIPRA, nous adressons cette lettre ouverte aux Ministres chargés de l’aménagement du territoire dans les pays alpins Allemagne, Autriche, Italie, France, Slovénie, Liechtenstein, Monaco et Suisse afin de les remercier de leurs efforts en faveur d’un aménagement soutenable du territoire alpin. Nous souhaitons également les faire part de nos attentes particulières en vue de la conférence des Etats alpins sur l’aménagement du territoire qui se tiendra le 18 – 19 avril 2016 à Murnau, Allemagne. Nous demandons aux Ministres de redoubler leurs efforts pour assurer la préservation des espaces et ressources naturelles, base vitale pour la vie dans les Alpes.

Vers une nouvelle culture de la mobilité soutenable
Position de la CIPRA sur la mobilité des personnes et des marchandises dans les Alpes
Actualités de la politique alpine

Michael Gams, CIPRA International
De nouveaux visages pour la CIPRA
Les représentations nationales de la CIPRA ont élu l’allemand Uwe Roth en tant que nouveau président de CIPRA International. Dans son ensemble, le bureau rajeunit et se féminise.

Michael Gams, CIPRA International
France 2030 : Jeux d’hiver malgré la crise climatique
Fin juillet 2024, les Jeux olympiques d’hiver 2030 ont été officiellement attribués à la France. En raison de la crise climatique, les organisations de protection de l’environnement réclament un changement de cap.

Michael Gams, CIPRA International
Biodiversité : La Suisse vote sur son avenir
Le 22 septembre 2024, les électeur·rice·s s’exprimeront sur l’initiative populaire « Pour l’avenir de notre nature et de notre paysage (Initiative biodiversité) ». La CIPRA soutient la cause.

Veronika Hribernik, CIPRA International
La branche autrichienne de « Dernière génération » met fin aux manifestations pour le climat
Vitesse de 100 km/h sur les autoroutes, inscription de la protection du climat dans la Constitution : telles étaient quelques revendications de « Dernière génération Autriche ». Début août, le collectif a annoncé la fin de ses protestations contre la crise climatique.
Points de vue de CIRPA International

Point de vue: Tourisme et Convention alpine – l’harmonie ne règne pas (encore)
Élaboré en son temps par des représentants ministériels du tourisme, le protocole Tourisme est devenu pour ces mêmes hommes et femmes politiques un sujet de conflit. Pourtant, la Convention alpine pourrait offrir une plate-forme idéale pour un débat transfrontalier sur les grands enjeux du tourisme, comme le souligne Peter Hasslacher, Président de CIPRA Autriche.

alpMedia
Point de vue : Résidences secondaires - pas de vraie solution en vue
Avec leur " oui " à l'initiative populaire " Pour en finir avec les constructions envahissantes de résidences secondaires ", les électeurs suisses ont exigé en 2012 une nouvelle politique du tourisme. Dominik Siegrist, Président de CIPRA International, doute que la volonté du peuple soit réellement appliquée.

alpMedia
Point de vue : qui remplira de vie la maison de la macrorégion alpine ?
Dans la construction d'une maison comme dans celle de la macrorégion alpine, les habitants sont les principaux acteurs. Or, cinq semaines après le lancement de la macrorégion, les États et les régions laissent dans l'incertitude les représentantes et représentants de la société civile, qui ne savent toujours pas s'ils auront le droit de participer à sa construction. Réponse s'il vous plaît.